Aurélien Routens, vous connaissez?
Si vous suivez le Freeride World Tour, cela se pourrait bien. Car oui, ce français de 34 ans originaire de Grenoble et local de La Grave se trouve être actuellement 3e du classement du FWT snowboard homme, en finissant notamment 1ier lors de l'épreuve de Courmayer-Mont Blanc.
Mais le bougre ne s'arrête pas là: Aurélien vient de lancer une nouvelle web series, "Carpe Diem", se proposant d'illustrer ses pérégrinations au Pérou, au Chili, en Argentine, au Canada, en Norvège, mais aussi en France. Du Freeride donc, avec un goût certain pour les runs pentus et les messages poétiques. Retrouvez aussi dans la suite de cette news une mini interview, histoire d'en savoir plus sur ce phénomène et son projet vidéo.
Aurélien Routens, vous connaissez?
Si vous suivez le Freeride World Tour, cela se pourrait bien. Car oui, ce français de 34 ans originaire de Grenoble et local de La Grave se trouve être actuellement 3e du classement du FWT snowboard homme, en finissant notamment 1ier lors de l'épreuve de Courmayer-Mont Blanc.
Mais le bougre ne s'arrête pas là: Aurélien vient de lancer une nouvelle web series, "Carpe Diem", se proposant d'illustrer ses pérégrinations au Pérou, au Chili, en Argentine, au Canada, en Norvège, mais aussi en France. Du Freeride donc, avec un goût certain pour les runs pentus et les messages poétiques. Retrouvez aussi dans la suite de cette news une mini interview, histoire d'en savoir plus sur ce phénomène et son projet vidéo.
Aurélien Routens, mini interview.Comment se passe ta saison actuelle?
Ma saison se passe vraiment bien ! Déjà il ne cesse de neiger partout où je suis allé rider. Et il faut bien avouer qu'après une saison en Amérique du Sud où je n'ai pas eu l'occasion de voir beaucoup de neige tomber, ça fait vraiment du bien. Ensuite j'ai aussi eu la chance de gagner l'étape Courmayer-Mont Blanc du Freride World Tour 2013, ce qui m'a rendu très heureux.
Parle nous un peu du projet "Carpe Diem".
Pour commencer je dirais que c'est tout d'abord un projet qui me tient vraiment à coeur, et cela depuis longtemps. Malheureusement je n'ai pas eu la possibilité de le monter avec une grosse boite de production et j'ai donc décidé de tout faire avec l'aide de quelques potes. Pratiquement les trois quarts des images visibles dans les podcasts sont filmées "toutes seules". Je m'explique: le principe consiste à poser la caméra, choisir le cadre, configurer la focale et ensuite avoir 3 heures maximum pour aller rider ma ligne. Après ça je réalise les montages aidé de Guillaume Le Guillou en ce qui concerne les titrages, et Pierre Petit pour les réglages couleurs.
Merci beaucoup pour tes réponses Aurélien !
Un commentaire
Pas d'hélico, des belles images, beaucoup de personnalité.
Bonne chance pour la suite, et si les gros financements de viennent pas, c'est peut-être pas plus mal.
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