Une semaine à scruter la météo, trois grosses heures de route et des plombes d'attente au téléphérique. Pas de doute, la Vallée Blanche sait se faire désirer.
Mais le temps magnifique et la poudreuse profonde qu'on a trouvé là haut valent bien tout ces efforts, parole. L'itinéraire retenu a été le Grand Envers du Plan, pour ses pentes raides et engagées. Pablo s'en souviendra. Le genou de Benjamin aussi. Plus bas, l'aventure continue à travers les sapins, quasiment jusqu'à Chamonix.
Les...