Démarrer sa session depuis le haut du camion. Trimballer sa neige à travers la ville. Repérer le rail vierge de tout ride. Préparer à la pelle les transitions et les aires d’atterrissages. Interrompre la circulation pour éviter les accidents. «Négocier» avec la police… et les vieilles dames. Où les vieux keufs! Etre pourchasser. Repartir a la quête du graal. Voilà la vie d’un snowboarder urbain. Voilà l’environnement de l’Aggronym. Et à tout hasard, elle se comporte ...
Démarrer sa session depuis le haut du camion. Trimballer sa neige à travers la ville. Repérer le rail vierge de tout ride. Préparer à la pelle les transitions et les aires d’atterrissages. Interrompre la circulation pour éviter les accidents. «Négocier» avec la police… et les vieilles dames. Où les vieux keufs! Etre pourchasser. Repartir a la quête du graal. Voilà la vie d’un snowboarder urbain. Voilà l’environnement de l’Aggronym. Et à tout hasard, elle se comporte ...
Démarrer sa session depuis le haut du camion. Trimballer sa neige à travers la ville. Repérer le rail vierge de tout ride. Préparer à la pelle les transitions et les aires d’atterrissages. Interrompre la circulation pour éviter les accidents. «Négocier» avec la police… et les vieilles dames. Où les vieux keufs! Etre pourchasser. Repartir a la quête du graal. Voilà la vie d’un snowboarder urbain. Voilà l’environnement de l’Aggronym. Et à tout hasard, elle se comporte très bien en montagne.
Justin Norman: J’adore ridder l’Aggro 51 sur les rails. Pas vraiment besoin d’autre chose. l’Aggro a un tel pop pour les ollies hors normes et un flex si parfait pour les rails que c’est un truc de malade…
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