<p class="p1"><img alt="" src="content.fluofun.com /></p>
<p class="p1">Lorsque nous avons appris que <a href="/riders/victor-de-le-rue" title="Victor De Le Rue">Victor de le Rue</a> était invité au Air & Style à Pékin, nous n'avons pas tardé à nous motiver à l'accompagner. Il s'agit en effet du premier franchie invité à un Air & Style depuis la création de Fluofun, son prédécesseur étant Mathieu Crépel en 2005. Et s'il est facile de critiquer ces compétitions de toupies volantes par excellence, force est d'admettre qu'au delà de leur rôle dans la démocratisation du snowboard, tous les grands riders y sont passés, de David Benedek à Nicolas Muller, et que cette année les juges ne sont pas les plus réfractaires au style, puisque sur trois juges on compte Devun Walsh et Ingemar Backman… </p>
<p class="p1">Petit portfolio du premier jour de training et du voyage dans la suite.</p>
<p class="p1"><img alt="" src="content.fluofun.com /></p>
<p class="p1">Lorsque nous avons appris que <a href="/riders/victor-de-le-rue" title="Victor De Le Rue">Victor de le Rue</a> était invité au Air & Style à Pékin, nous n'avons pas tardé à nous motiver à l'accompagner. Il s'agit en effet du premier franchie invité à un Air & Style depuis la création de Fluofun, son prédécesseur étant Mathieu Crépel en 2005. Et s'il est facile de critiquer ces compétitions de toupies volantes par excellence, force est d'admettre qu'au delà de leur rôle dans la démocratisation du snowboard, tous les grands riders y sont passés, de David Benedek à Nicolas Muller, et que cette année les juges ne sont pas les plus réfractaires au style, puisque sur trois juges on compte Devun Walsh et Ingemar Backman… </p>
<p class="p1">Petit portfolio du premier jour de training et du voyage dans la suite.</p>
PHOTOS - TEXTE : PIERRE-JEAN RUEDA
Après quelques heures de voyage (départ mardi 8h, arrivée mercredi 15h), nous voilà à Pékin avec Victor. Ce Air & Style Pékin est le premier évent 6* TTR de la saison, et la caravane du tour est heureuse de se retrouver. Riders et team managers partagent souvenirs de vacances et bon plan ride du moment autour d'un plat de nouille, et les discussion sur le fait que Shaun White ne participe toujours pas à un évent qui porte son nom se font à voix basse.
Le spot a changé par rapport à notre première venue à Pékin.
Le plus remarquable est l'enceinte, puisque le contest se déroule aujourd'hui dans le fameux "nid d'oiseau", LE spectaculaire stade des JO de Pékin en 2008. En cette saison pré-olympique, c'est un signe : tous les riders présents espèrent faire partie de la toute première épreuve de Slopestyle olympique qui se déroulera à Sotchi en février 2014, et mode de sélection, quota et obligations FIS sont déjà dans toutes les têtes.
Le saut lui-même a changé également. Moins dur / gelé, avec une réception plus raide et une prise d'élan plus large. A tel point que les riders demanderont aux shapers de faire un kicker plus poppé pour les jours à venir. Certaines rumeurs parlent de tentative de triple cork, et à voir avec quelle facilité certains enchainent les doublecork stylés dès leurs premiers sauts de training, dès le premier jour, ce ne serait pas étonnant.
La liste de rider est longue, et Victor va avoir fort à faire pour se frayer un chemin jusqu'au podium : Marc Mc Morris, Seppe Smits, Seb Toots, Roppe Tonteri, Peetu Piiroinen et son petit frère Petja, Chas Gudlemond, Pat Burgener, Werni Stock, Staale Sandbech, Marco Grilc, Sage Kostenburg etc… On notera les désaffection de dernière minute d'Halldor Helgason et de Torstein Horgmo.
Enfin, l'environnement a changé. Le contrôle des pass et accréditations est plus souple, les militaires ont déserté l'enceinte et on ne nous a encore donné aucune restriction quant au contenu produit sur place.
Demain sera une deuxième journée de training avant le grand soir, samedi. On vous racontera tout. Resté connectés. En attendant, voici un petit portfolio chronologique du trip.
Victor aux trainings.
3 Commentaires
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té nou en France, ouyouyouye : BOCOU BOCOU neige.
da les boule ? da les glande ? da les crote de né ki pende ? hin ? hin ?
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