Il pleuvait. La terre affleurait sur le front de neige des 2 alpes. Mais l'étape française de la tournée mondiale Volcom Peanut Butter & Rail Jam a contenté tout ceux qui se sont déplacés... reportage.
Il pleuvait. La terre affleurait sur le front de neige des 2 alpes. Mais l'étape française de la tournée mondiale Volcom Peanut Butter & Rail Jam a contenté tout ceux qui se sont déplacés... reportage.
PBRJ 2 Alpes 2015
Pour bien comprendre ce reportage, il est important de noter que la personne qui écrit ces lignes (pj) était dans une position bien particulière sur place, celle de juge.
A notre arrivée sur place les courageux ayant bravé les prévisions météo annonçant le déluge sont bien peu nombreux. Les toasts chauds et le café bouillant sont les stars de la matinée tandis que les shapers finissent leur travail. Comme pour tout PBRJ, le set up est constitué de trois modules côte-à-côte : un "vrai" rail down, une box descente-plat et un enchainement tube plat - boxe en descente.
Simple, efficace, manquant peut être d'un rail kinké, le set up permet de se chauffer tranquillement sur les box avant d'attaquer le rail.
Le jeu des 7 différences avec Louis Declerck : un sticker Volcom à gagner pour le premier à donner les 7 différences.
Niveau jugement, c'est simple : un juge est attribué à chaque module. Franck Moissonnier sur la box descente-plat, Rémi Lamazouère sur le tube to box et votre serviteur sur le down rail. Chacun note les tricks de tous les riders sur son module, et seul sera retenu le meilleur score de chaque module. Les trois scores additionnés donnent la note globale. En gros : il faut tuer les trois obstacles. Prendre 15 boites n'est pas un soucis, tant qu'il y a un banger à la clé sur chaque module.
De la ballargue, il y en a eu. Beaucoup. Voire même trop. Surtout pour le crew Rusty Toothbrush aka "Le collège fou fou fou".
Giacomo Errichiello en fera les frais. Faut avouer que l'italien était très très optimiste sur certains tricks. Après deux belles frayeurs aux trainings montrant à toute personne raisonnable que l'opération n'était pas possible, il ouvre la finale Open en gap 36 back to grind sur le descente-plat et finit... les dents dans le coping. OUCH. La finale à peine commencée est interrompue, le bilan des courses est plutôt solide : deux dents déchaussées, et trois autres enfoncées dans la gencive. Bon appétit !
Un commentaire
belle motivation malgré la pluie, bravo aux riders !
Connectez-vous pour laisser un commentaire
Connectez-vous pour laisser un commentaire